La silphie apparait comme une bonne solution pour faire face aux changements climatiques et aux périodes de sécheresse estivales récurrentes.

 

Elle souffre autant qu’un maïs en conditions asséchantes mais son atout sur ce plan réside dans son caractère pérenne.  Hormis l’année de l’implantation, la silphie, bien enracinée et qui redémarre en végétation dès le mois de février, développe une majeure partie de sa biomasse durant le printemps lorsque l’eau n’est généralement pas encore un facteur limitant. 

Dernière mise à jour @ 09/02/2023